Le petit Etang

Tout au fond du domaine se trouvait un petit étang.
Taïwen aimait s'y baigner en tout discrétions ou péché un peut ou bien venir admiré la beauté de la nature.

Le petit Etang Dyn006_original_614_460_pjpeg_2544267_0a222fb71e6400135def638a4cef12fa

Le petit Etang Dyn006_original_614_460_pjpeg_2544267_0a222fb71e6400135def638a4cef12fa

Messages : 24 Points : 27 Réputation : 0 Date d'inscription : 21/06/2009

Après le déjeuner Taïwen avait une course à faire.

Profitant de son temps libre elle alla visiter le jardin et ces alentours.

Que de merveilles ici !!

Je resterais bien !

Tout en continuant son chemin, elle aperçut un étang.

Magnifique, voilà l'étang dont parrain me parlait.

Il faisait un temps magnifique et la chaleur étouffante.

Elle regarda autour d'elle personne, elle se dévêtit, posa ses vêtements sur l'herbe et nue elle alla nager.

Gaelis lui avait apprit à nager et elle en était ravie.

L'eau au début était très fraîche mais elle s'habitua vite.

Elle fit plusieurs longueurs, puis fit la planche, offrant son corps au soleil.................

Taïwen était rentré, il marcher dans le jardin et déambulé un peut partout en songeant.
Il avait essayer d'oublier l'histoire de tout à l'heure qui lui déplaisé.

Il arriva près de son étang, il faisait chaud et il avait envit de se baigner.
Il entendait déjà l'eau de l'étang...
Il passa entre les buisson, puis s'arrêta regarda divine qui bronzé nue, tout compte fait il fit demi tours et alla plus loin.

Messages : 24 Points : 27 Réputation : 0 Date d'inscription : 21/06/2009

Divine fit quelques longueurs et regagna la rive.

Elle s'allongea sur l'herbe et se dora au soleil un moment.

Une fois sèche, elle se rhabilla et continua sa promenade.

La phrase de Taïwen la taraudait

"ça m'étonne pas"

Elle ne savait pas quoi faire si rester ou partir.

Elle sentait bien que ça allait encore mal finir, ça l'attrista, elle qui se faisait une joie de le revoir.

Elle prit la direction de la cuisine, elle avait soif et voulait se servir de l'eau

Messages : 24 Points : 27 Réputation : 0 Date d'inscription : 21/06/2009

Arrivée à l'étang elle mangea la digitale et se laissa tomber dans l'étang.

La mort fut quasi instantanée.

Divine n'existait plus...........

Taïwen avait lu la lettre il savait qu'elle était à l'étang.
Il arriva observa autours de lui et aperçut Divine au bord de l'eau.
Il se précipita au près d'elle.
Il compris qu'elle avait avalé une plante.
Elle était inconsciente .
Il ne savait pas quoi faire.
Il la prit dans ses bras et l'enmena dans sa chambre

Messages : 163 Points : 170 Réputation : 4 Date d'inscription : 23/06/2009

Ce matin Crik se léve tot,avant que Taiw ne se reveille,,elle va faire un tour dans le jardin jusqu'a l'étang,,,,elle repense a la dispute qu'ils ont eut,,,Crik est tres malheureuse,,elle s'assois dans l'herbe,,,laisse ses larmes couller,,elle a peur que Taiw ne l'aime plus,,lui dise de partir,,mais elle a tellement souffert de tromperie en mensonge avant lui,qu'elle doute de tout et toujours,,et pourtant si il savait a qu'elle point elle l'aime,et que veux que sont bonheure,,Crik reste la des heures le visage entre les mains a pleurer toutes les larmes de sont corps

Il était tôt ce matin là, et la blonde avait du mal à trouver son sommeil...
Ses seins étaient tendus, et maintenant, il n'était lus question de dormir sur le ventre... même si c'était sa position fétiche pour dormir.
Alors elle devait composer et trouver une nouvelle position qui plairait à tout le monde, bébé et maman... Mais ce matin là, elle avait du mal à la trouver!

Elle décida donc de se lever.
Après avoir regardé son blond dormir, un sourire attaché à ses lèvres, posant sur lui un regard aimant, elle revêtit rapidement sa houppelande, et sorti prendre l'air dans le parc, près de l'étang.
Elle trouvait cet endroit reposant.

La fin de l'hiver se faisait douce, et malgré l'heure matinale, seul un petit vent rappelait à Puce que le printemps n'était pas tout à fait là.
Les rayons du soleil ne passaient pas encore entre les nuages, et laissaient nécessairement des températures un peu plus froides, mais tout à fait supportable.

Elle posa ses mains sur son ventre qui pointait fièrement en avant et longea les rives de l'étang.
Elle s'arrêta quelques instants sous un magnifique saule pleureur et laissa ses pensées vagabonder.
Elle imaginait son futur enfant jouer là, avec Jérémy et son aimé... Qu'ils pourraient cet été profiter de l'endroit afin de pique niquer en famille et de passer des moments de détente agréables, mêlés de fous rires et de sourires.

La vie que Puce menait ici, c'était bel et bien la vie qui lui allait le mieux, auprès de son aimé. Cet homme, oui, elle l'aimait, et c'était peu de le dire! A croire qu'il savait révéler certaines choses qui étaient enfouies très loin en elle, et qu'il faisait apparaitre rien en était près d'elle, en déposant un baiser sur ses lèvres...
Puce caressa son ventre, machinalement, et sorti de ses pensées pour continuer sa promenade.
Elle gardait les yeux rivés sur l'eau de l'étang qui était bercée par une douce brise, formant des petites vaguelettes qui mourraient contre les berges.
Une fois le tour de l'étang fini, elle prit la direction du verger afin de prendre une pomme directement sur l'arbre, c'était bien comme celà qu'elles étaient les meilleures...

En cette saison, le jardin offrait ses plus belles parures, et mettait tout les sens de la blonde en éveil.
Les milles couleurs, les feuilles reflétant les rayons du soleil au zénith, les fleurs qui diffusaient leurs subtils parfum, l'écorce des arbres qui se faisait caresse, et les fruits gorgés de soleil qui étaient à portée de main.

On se serait cru au paradis.
Un petit coin de bonheur terrestre.

La dernière fois que Puce avait arpenté ces sentiers, elle s'en souvenait encore. Elle s'était enfoncée dans ce jardin immense, allant presque à la limite de la forêt qui bordait la propriété. A l'époque, elle marchait plongée dans ses pensées, une main sur son ventre bedonnant.

Depuis, bien des choses avaient changées... Des kilomètres supplémentaires sous ses pieds, des chevaux un peu plus fatigués par leurs longs voyages, et la petite Crystal qui faisait de chaque jour un émerveillement pour ses parents. Puce et Taïwen étaient devenus tous deux parents, d'une petite Blondinette au doux sourire et aux grands yeux clairs malicieux.

Malgré tout ce bonheur, Puce voulait quelques instants pour elle. Mathilde était resté à l'étage de la maison avec Crystal et Jérémy.
Les pensées se bousculaient dans la tête de la belle, tout et son contraire lui arrivait...
Des choses belles, douces et tendres, alors que d'autres étaient bien plus sombres.

Il y a de ces jours où la lassitude et la mélancolie venaient davantage chatouiller les âmes empruntes de solitude.
Et manifestement, Puce était dans un de ces jours là. Taïwen était parti travailler, ce qui laissait à sa femme quelques heures d'isolement.

Un mot revenait en elle..."Lassitude..."
Et ce mot là, elle voulait ne pas avoir à l'entendre, elle voulait se battre pour que ce mot là n'arrive jamais.
Ces derniers temps, il semblait que malgré tout, elle le voyait, elle le sentait, elle l'appréhendait.

Un long soupir sorti du plus profond de ses entrailles, repoussant quelques vagues trop humides qui voulaient prendre possession de ses azurs.

Les choses étaient elles comme elles les voyaient?
Un sentiment étrange s'emparait d'elle, l'emportant dans des méandres où jamais elle aurait voulu aller. Ce sentiment là, elle l'avait connu une fois, et elle aurait aimé ne jamais le revivre... et certainement pas avec Lui.

Lui qui était devenu tout pour elle. Amant, ami, confident, compagnon, fiancé, et père de son enfant... Un homme qu'elle voulait garder pour la vie... Mais en serait elle capable?

Elle leva les yeux vers le ciel, apercevant le seul nuage qui se pointait à l'horizon au beau milieu d'une tempête de ciel bleu où le soleil majestueux semblait régner en maître incontesté et incontestable.
Une boule impossible à faire passer nouait sa gorge, lui rendant chaque déglutition difficile. Un nouveau soupir, mais qui ne pouvait cette fois plus éliminer les chaudes larmes qui gagnaient ses yeux. Dans un battement de cils, ces dernières coulaient sur ses joues rosies par l'émotion qui l'habitait.

Elle ne savait que faire.
Elle ne savait comment faire.
Elle ne savait que penser.

La luminosité implacable de l'astre de jour ne faisait qu'intensifier ses larmes qui ne cessaient de monter et de noyer ses joues sous un flot incessant.
Cet état là, elle ne savait d'où il venait, ou plutôt elle ne voulait pas y penser, espérant toujours... Attendant... Priant un Dieu auquel elle avait tant de mal à croire, mais que faire d'autre...?

Puce baissa son regard au sol. Les brins d'herbes sous ses pieds ressemblaient plutôt à un marécage, vu de ses mirettes embrumées. De sa main droite, elle balaya tout ça, décidant de reprendre le dessus sur tout ce flot de sentiments qui la submergeait.

Encore un long soupir, plus puissant que les autres, comme pour trouver la force de rentrer.
Elle resta là encore quelques instants, le temps de reprendre son souffle et que ses yeux reprennent leur couleur d'origine, puis elle prit le chemin inverse.
Puce essayait de se laisser emporter par la beauté de la nature afin d'oublier les pensées qui venaient de la kidnapper.

Un nouveau soupir, histoire d'avoir définitivement l'envie, la force de rentrer, et de chercher au fond d'elle un sourire pour rejoindre ses enfants.